Le refuge de l'inexistante

Tanis apparut dans la demeure de pierre qu'elle occupait pour le moment en tous cas. Il s'agissait d'un lieu parfaitement a son image. La grotte avait une ouverture asser étroite, discrete et entouré de lierre verdoyant. Entrelacé dans le végétal envahissant des rosiers grimpants étalaient leurs fleurs rouge, blanche et rose et leurs parfums délicats. Devant la grotte sur les cotés poussaient des ronces aux fruits sucrées et du romarins sauvage. La grottes a l'intérieur était plus que surprenante. Seul le sol n'était pas recouvert de glace. Les mur étaient des miroirs gelés, et des stalactites et stalagmites décoraient l'endroit de leurs formes blacnhe et crystallines. Un escalier naturel de glace étincelante menait a une salle plus petite mais non moins impréssionante. Un petit lac intérieur, grand comme une piscine, faisait miroiter des eaux turquoises et immobiles. Les murs était au contraire de ceux de la première salle recouvert de pics de glace, acérées et si brillant qu'aucune lumière n'était nécéssaire. Enfin au fond de cette salle un trone était sculpté dans la glace, et recouvert de fourrure grise perles et noires.

Dans l'eau fumante, Tanis révait.

Il entra avec Kasus. Il vut sa belle endormit.

"Il ne faut pas la réveilleur."

Il alla près d'elle.

*Elle est si belle.*

Il caressa son visage.

Soudain alors que Tanis ne réagissait pas, un cris térrible se fit entendre. Un vent de tous les diables se mit a soufflés dans la caverne, sans pour autant réveiller la jeune femme. Ieshoua et Kasus qui c'était mit a gémir, furent transporter au dehors de la grotte. Les fleurs étaient toujours aussi éclatantes de couleurs, les feuilles toujours aussi verte et pourtant quelques chose avait changé. La végétation semblait pliés, comme sous un poid trop lourd et tous était devenue plus sombre, plus opprésant. Le cris se fit de nouveau entendre et apparut une créature terrifiante. C'était uen femme a première vue, aux yeux entièrement noirs. Des ailes de plumes marrons grises étaient attachés a deux bras squellétique, terminé par des mains osseuses et munis de griffes noires. Les jambes de l'inconnue étaient remplacé par des pattes de vautours. Elle cria de nouveau d'un cris terrible entre le crissement du métal et le hurlement humain. Kasus se jeta a terre, autant par terreur que par suplication:

Pitié, pas manger Kasus, Aello doit pas manger Kasus et Ieshoua. Pitié La Dame Harpie doit nous laisser entrer. La Brune malade! Kasus la sentie. Pitié pas manger pas manger. Le pauvre était au bord de l'évanouissement.

Ieschoua vut la femme. Il toucha Tanis et guérit son male.

"Méfit-toi. Je suis beaucoup plus puissant que j'en ai l'aire.

Il leva sa main.Le vent se fit à tourner.Aolle se retrouva à l'autre bout de pièce.

"Rien ne m'empêcheras de al rendre heureuse."

"Je suis l'enfant de fils du maître de son père. Et toi qui est-tu? Si tu veux m'affronter,daccord. Mais les en dehors de sa. C'est entre toi et moi."

[vs êtes en dehors de la grotte!! ^^ ]

La harpie cria de nouveau et se mit a parler en se remettant debout.

Qui je suis?? tu ose me demander ça??? Tous les avortons de ton age qui ont osé approcher de ce monstre sont mort tu ment?? mort! Elle se figea soudain lorsqu'elle entendit qui était Ieshoua.

C'est imposssible cracha t'elle d'une voix suraigue. C'est impossible, tu ment! tu ment!! Son père ne venait pas de ce monde, tu ne peut pas connaitre son maitre et encore moins être son fils!

Kasus tremblaitt comme une feuille.
Sa mère, c'est la mère de La Brune!! Parvint t'il a glapir;

"Son père était un ange. Un serviteur de Yavhé,mon père.Si tu en veux une preuve...."

Il leva la main et un onde de lumière qui la fit hurleur brutalementy contre le mur.

"C'est le pouvoir de mon père,le pouvoire de l'amour. Et ne parleras d'elle comem ça. Elle te vaux mille foix plus."

Aello recula et se prtégeait le visage de ses ailes. Elle glapit et s'envola lourdement.

Aucun bonheur ne peut la toucher! Elle restera seule jusqu'a la fin des mondes! C'est son destin!

Et sur ce elle disparut dans l'air tiède du soir. La nature repris doucement son souffle et l'atmosphère redevint douce et acceuillante. Kasus reprit lui aussi lentement son souffle et tira sur la robe de Ieshoua.

La Brune, Ieshoua doit réveiller la Brune.

"Tous on droit à l'amour."

Il approcha de sa douche.

"Bien. Il a qu'une seule soulution."

Il devait lui transmette un peu de son énergie. Il souleva sa tête. Il approcha ses lèvres et lui fit une sorte de bouche à bouche. Par ce contact,ils tramis un lumière qui la donna un onde d'énergie, comme elle renaissait. Elle allait surment se réveiller,il fallait juste attendre. En attendant, il lui donnaun doux baiser sur lèvres.

Tanis se cambra et une lumière blanche, aggrésive se dégagea de son corp. Ses ailes s'ouvrit brutalement et envoyèrent Ieshoua contre un mur. Elle ouvrit les yeux d'un coup et pris une inspiration comme si elle c'était noyée. elle se leva et s'accroupit sur le sol, comme un félin sur la défensive. Elle ouvrit de grand yeux étonnée devant Ieshoua au sol, et Kasus s'approcha doucement, posant sa petite main sur son épaule, comme pour la rassurer.

La Brune doit pas avoir peur, Ieshoua est gentil, il a affronter Alleo pour La Brune.

Tanis le regarda comme si elle le voyait pour la première fois. Elle regarda de nouveau Ieshoua avec un regard interrogatif mélé de crainte.

Il se releva Il s'approcha de tanis.Et parla d'un ton rassurant. Ieschoua été fait en sorte que ça voit était comme un réconfort en sois-même.

"Tout va bien, ta misère est finit.Tu as plus a voir peur.Je suis a là en paix."

Il lui sourie bienvaillant.

"Tu te souviens de quelques choses?"

Elle devait surment être amenésique, une telle expérience était assez secouante, même pour un être comme Tanis...Mais il y avait rien de grave. Ieschoua l'aiderais à retrouvé la mémoire et se batir une nouvelle vie.

Tanis, noya son visage dans ses cheveux noirs, regadant Ieshoua fixement, sans bouger. Elle avait eu un mouvement de recul lorsqu'il c'était approché mais finalement n'avait que peu bougé. Elle se redressa lentement, utilisant ses ailes comme une cape de plumes. Elle restait derrière le frèle Faune comme se donné le temps d'évaluer la situation.

Je croit...me souvenir de toi. De ton âme. Blanche. Etrangère en ce monde.

Elle fit une pause.

Pourquoi est tu ici? Je croit...non je sais que le monde me fuit. Je suis dangereuse. On m'a dit que j'était mauvaise. Toi tu es pur. Que veux tu?

"Tu n'est pas totalment mauvaise."

Il prit doucement son visage, sans la brusquez et lui faire mal,juste pour vois ses mieux yeux. Il la regarda dans les yeux.

"Tanis, je t'aime et je t'aimerais quoi que tu sois, quoi tu fassez, quoi que ta fait. Je ne peux m'imaginer vivre dans un monde où tu est pas. Tu est dans mes pensé depuis notre rencontre et pour le restant de mes jours."

Tanis regarda cet homme bien singulier qui semblait persuader qu'elle avait une part d'humanité en elle. Elle baissa les yeux et se recula pour aller s'enveloper d'un pan de tissus noir et blanc qu'elle fixa grace a une fibule argent. Elle ouvrit ses ailes pour ne pas les prendre dans le tissu et attrapa son lourd manteau ou sa nature profonde, sans cesse tiraillée entre le bien et le mal était inscrit, par l'affrontement du blanc et du noir.

Tu es un homme qui mérite le bonheur, il est donc étrange que Cupidon, ou quelque soit le nom que tu lui donne t'es touché a mon encontre. Cela a certainement un sens même si il m'échappe. Elle leva ses prunelles noires vers lui et esquissa un sourire triste.

Ma mère m'a maudite en me donnant la vie, et pourtant elle a aimé mon père. Lui était l'amour personifié, et pourtant il m'a abandonné. Alors tu voit Fils du Ciel, même si j'apprécie ta présence et tout ton être, je ne sais si je ne t'emmenerais pas a un gouffre en restant auprès de toi. Il y a des questions dont je doit trouver la réponse avant de laisser mon coeur battre.

Sur ces mots elle déposa son manteau sur ses épaules, écrasant ses grandes ailes contre son dos et s'envola. La joue de Ieshoua brulait a l'endroit ou la main legère de Tanis l'avait frolée.

Ieschoua ne portait même.

Quoi que tu décide, je ne te laisserais pas dans ton malheur. Même si je dois y laisser mon âme.....dit à elle, mêmme elle avait l'endroit.

Sur ce, il tourna. un fleur commençait à germer dans l'endroit où était couché Tanis.