La plage

[HRP: Quelques heures ont passé, le lieu est la plage, il fait nuit... Je prend cette liberté pour remettre à niveau tous les posts, comme ça, il y a un minimum de confusion possible... /HRP]

Atlantar regardait le feu qui pétillait au centre du groupe. Ils étaient tous là, réunis, après s'être séparés à Athènes. La journée avait été digne des plus grandes retrouvailles: cris, joies, rires, pleurs, embrassades...

Au dessus d'eux, les étoiles scintillaient de milles feux... Dans l'ombre, un peu à l'écart du groupe, les amazones qui les avaient acceuillis préparaient les tentes. Seule une s'était jointe au groupe pour manger un bon sanglier, chassé par Hypolyte et Alatante en personne. La troupe avait tenu à dormir sous les tentes, pour ne pas déranger l'unique dortoir de la communauté amazone. Le lendemain, les deux Atlantes iraient voir Poseidon dans son temple. L'amazone présente leur avait assuré qu'il était à l'écoute de l'île en ce moment, et qu'il avait parlé à Atalante.

La troupe comptait 5 personne de plus. Le pêcheur qu'Atlantar et Aldarion avait rencontré lors de leur attaque du camp de pirates, et 4 pirates prisonniers, qui n'avait eu droit qu'aux intestins de la bête. Le grand bateau pirate était donc la propriété des deux Atlantes... Cela valait mieux que la petite barque, qui avait coulé (enfait...).
De l'autre camp, il était encore trop sombre pour distinguer qui était nouveau... Les yeux d'Atlantar fatiguaient... Il pensa à Aldarion, qui était allé se ressourcé dans la forêt... Demain sera un autre jour...

"Comment ça c'est passé durant notre absence, bien ?"

[hrp : tu oublie persephone qui a pris forme d'une belle femme ]

-Au fait je me permet de vous interrompre Atlantar mais je ne puis rester ainsi sans me présenter. C'est vraiment impoli.
Donc moi je suis Costa, un pêcheur Troyen et voici ma femme, Uranie. Elle se trouvait ici c'est pour cette raison que je suis venu avec vous Il désigna de la tête les deux Atlantes

Chiron, qui était assis avec les autres pris la parole. Il s'éclaircit la gorge etraconta se qui s'était passé depuis leur séparation, de la première rencontre avec les lemniennes, à la discussion avec Poseïdon, avec la colère de Chiron pour l'attaque contre les cinq pirates jusqu'à la grande bataille contre tout les pirates qui avaient voulu venger la mort de leurs frères. Puis une fois que Chiron finit son récit il dit à "Costa":

"Bonjour à toi, je me nomme Chiron, fils de Chronos!"


Il eut un léger sourire car il avait bien sûr senti que son demi-frère était en face de lui. Il lui dit par télépatie:

"Alors chèr Hadès, quel bon vent t'amène par ici?"

[hrp: nommer moi uranie, je sais c'est une muse, mais bon, j'aime bience nom ....)]

-Bah! tu sais bien, l'ennui et tout ça. Et puis en plus je voulais voir comment vont les hommes et j'ai voulu en corrompre quelques uns mais je n'ai toujours pas trouvé. C'est drôle, tu me reconnais moi et pas ma femme?
Un large sourir se dessina sur le visage d'Hadès, il l'adressa à Chiron et à sa femme

"Ravi de vous rencontrer, Uranie... Votre mari m'avait caché que s'il venait ici, c'était pour vous retrouver..."

Atlantar se rapprocha de la femme.

"C'est marrant, vous émanez une drôle d'aura. Je ne saurais me tromper, mais... C'est intriguant!"

Chiron dit également à la jeune femme, bien qu'il sache qui elle était:

"Oui moi également je trouve cela étrange et je la ressent!"

Puis il lui dit par téléppatie: "Bienvenue Persephone! Heureux que vous nous ayez rejoint..."

persephone-yranie esquissa un petit sourire timide a atlantar et dit telepatiquement a chiron :

-merci de ton accueille, mais je ne suis pas la pour faire des courbette, mais je suis venu voir Ares, un vieux compte a reglé -pretexta't'elle-
tu sais nous les dieux ... nos affaires son si compliquée ...

tant qu'elle etait avec hades, elle restait l'indomptable et la furieuse persephone, tout le contraire de se qu'elle etait lorsqu'elle restait pres de sa mere.

La nuit était tombée depuis quelques instants déjà,et les compagnons commençaient à somnoler quand Aldarion fit son apparition.Son aura avait complètement changé depuis son départ.Maintenant,il était tout souriant,et il salua ses amis joyeusement.Il vint s'assoir près d'Atlantar,et tout décontracté,demanda:

"Alors,quoi de neuf les amis?"

Atlantar regarda son ami puis le groupe en entier. Ils étaient tous stupéfaits, ils ne reconnaissaient pas Aldarion, le vieil homme qui les avait laissé à Athènes.

"Eh les gars !! C'est Aldarion !! On a trouvé une pierre d'orichalque, comme la mienne, sur le chemin... Vous connaissez surement ses propriétés bénéfiques sur la santé humaine ?? Et bah, le revlà Aldarion, tout beau, tout propre, comme il l'était à l'âge de vingt ans !!"

Tous les autres étaient subjugés, ils ne comprennaient pas. Atlantar brandit sa pierre, pendant à son cou.

"Ce cailloux, là !! Une pierre d'Orichalque !! Il prodigue une vie, quasi-éternelle à son porteur... C'est un peu comme... un anneau d'invisibilité !! mais face au temps !!

Quoi ?!? Vous ne me croyez pas?"

la deesse fixa longuement atlantarpuis d'un ton relativement orgueilleux lui lanca :

-Si tu possede cette pierre ce n'est pas le hasard. un dieu l'a mis sur ton chemin, mais ne te crois pas invulnerable pour autant, celui qui t'en a fait dont peut tres bien te la reprendre ...

-long silence-

Costa s'incrusta dans l'histoire

-Ouais, ma p'tite femme a raison. Les dieux donnent, les dieux reprennent.
Il fit un clin d'oeil destiné a tous les dieux présents puis reprit
-Il se fait tard les amis, et si on allait dormir?

A ses mots, Atalante se retira sur un coin de plage hors de la vue de tous.
elle avait donné rendez vous a une de ses amie lemnienne. et elle avait bien l'intension de ne pas la louper.

Atlantar avait bien l'impression d'avoir dit une bourde... Il désigna encore une fois Aldarion d'un geste relativement faible:

"C'est Aldarion..."

Son compagnon le tira à part, le regard plein de furie.

"Ne recommence plus jamais ça !"

"Mais... Il fallait bien leur expliquer !!"

"La science que les Atlantes ont réussi à acquérir dans le dos des Dieux ne doit jamais, jamais être dévoilée impunement !! Nous avons un trop grand pouvoir, et ce même pouvoir qui a causé notre perte !! Si jamais tu recommence, je crains que nous ne passions un bon quart-d'heure !!"

Atlantar baissa la tête...

"Je ne pensais pas faire à mal..."

"Je sais, et c'est pour ça qu'il faut faire attention... Nos pierres ont des vertues secrètes, inconnues du monde. On a préféré les détruire pour ne pas provoquer de guerres..."

"Qui ça 'on' ??"

Aldarion montra discrétement le ciel de l'index...

"Nous ne sommes pas des immortels, nous ne sommes pas des Dieux, et même si nous sommes Atlantes, nous avons le devoir de respecter ce qui a été fait. Ces pierres sont rares, ne les dévoile pas aux yeux de tous, de crainte de provoquer l'inadmissible !!"

Chion se leva et dit d'un ton laissant entendre la fatigue alors qu'elle n'y était pas:

"Je m'excuse de me retiré ainsi, mais je pense qu'il est tard...demain nous aurons peut-être de nouvelles aventures! A demain mes amis!"

Il s'inclina et parti en trotinnant vers la forêt.

Un homme apprut. Il alla vers la jeuen femme. Pourquoi s'y accrochait-t-il? Il le devait le faire. C'était contre ses princips d'adonnée. Tanis jsute un simple brebi égaré, une brebie nori certe, comme tout les humain et Ieschoua devait la renmener était C'était Il mit une main

"Mon père m'as d'aider tout ceux que je reconterais, peu important leur nature."

Il ferma les yeux, il se concentra et appiaque les enseingen des prêtes caulois, eux qui luia vait apprit à maîtriser ses pouvoir Il entra en transe, un vent étrange se mit à soufller. Les pierres se soulvèrent et se mit à tourner autour de Tanis et de Ieschoua.Il communiquait avec son père et lui demandait un favuer, une faveur pour Tanis.

Tanis se redressa et replia ses grandes ailes nacrées. Elle affronta le regard de Ieshoua.

Les prières sont inutiles Judéen, même ton père ne saurais m'aider. D'ailleurs ai je vraiment besoin d'aide? D'aucun le nierais. Il y a des causes qui ne peuvent être gagnée, et j'ai perdue la mienne avant de naitre.

Devant l'incompréension nette de son compagnon, elle chercha le soutient des ombres dans un recul.

Ma vie n'est pas belle Ieshoua, ni douce a connaitre. Elle comme l'existence en ce monde. D'après tes coyance il y a le bon et le mal. Mais ce n'est pas toujours le cas. Il a une terre entre ces deux mers, un ilots perdut abritant quelques nofragés. Une terre ou ce mel bien et mal, lumière et obscurité. Ces habitants sont des pariat, car né par erreur. Si je dit que tu ne doit pas cherché a me comprendre, c'est pasceque tu risque de te perdre dans les fournaise de mon passé, et t'y mené sera pour moi la pire des blessures. Mais si tu le souhaite, je le ferais.

Les yeux de Ieschoua s'ouvrir, ils était luminieux.

"Les humain son comme de brebis égaré. Loin de leur berger, ils sont perud. Je suis la les ramener. Il y a les ciels et l'enfer, tous ce qui lieu. Mon père t'accord la rédemption."

Puis il redvint normale et tomba sans-connainsance. Au moun,l'âme de Tanis serait sauvée.

Les blessures de Tanis se refermèrent doucement et elle agita ses ailes. Puis, elle regarda Ieshoua et s'agenouilla sans bruit a ses cotés.

Mais Ieshoua je ne suis pas humaine. Elle l'installa confortablement sur le sable, et remit son manteau sur elle, ses ailes protestant d'être a nouveau sérré dans le lourd vétement, puis attendit que les fidèles de Ieshoua arrive. Cela fait elle partit lentement, silencieuse.

Il se réveilla avec l'image de Tanis dans la tête. Elle le hantait. Son sourire, ses gestes, sa voix lui était devenu nécessaire.

"Pourquoi père?Pourquoi"

Ses apôtres le regadèrent drôlement.

"Partez avant, j'ai beoin d'être seul un peu."

Ils firent de la sorte.

Ieschoua sentait une aura. Cette problème et semblait lui indiquer un chemin.

*Tanis.*

Il alla rejoindre. Quand Juda, le seule qui venait pas de Galilié lui demanda la destination.

"Là où le vie nous conduira."